Dans quelle mesure les incendies de véhicules à énergie nouvelle sont-ils terrifiants ? Les couvertures anti-feu peuvent-elles vraiment aider ?

June 25, 2025
Dernières nouvelles de l'entreprise Dans quelle mesure les incendies de véhicules à énergie nouvelle sont-ils terrifiants ? Les couvertures anti-feu peuvent-elles vraiment aider ?

Ces dernières années, les fréquents incendies de véhicules à énergie nouvelle (VEN) ont laissé de nombreux propriétaires aux prises avec une « anxiété de sécurité ». Les débats en ligne font rage pour savoir si « les couvertures anti-feu pour voitures ne sont qu'une feuille de vigne pour les constructeurs automobiles », mais est-ce vraiment le cas ? Aujourd'hui, nous prendrons l'exemple de la couverture anti-feu automobile produite par une usine de Zhenjiang, Jiangsu, en Chine, en utilisant des données de test et des analyses techniques pour révéler sa véritable efficacité !

Lorsqu'un véhicule à énergie nouvelle prend feu, il peut s'embraser en quelques secondes, avec des températures dépassant instantanément les 1 000 °C, accompagnées de fumées toxiques et de risques d'explosion. Les méthodes traditionnelles de lutte contre l'incendie sont presque inutiles contre l'emballement thermique des batteries, tandis que les lances à incendie peuvent aggraver les courts-circuits, entraînant des explosions secondaires.

Les performances testées des couvertures anti-feu automobiles :

Résiste aux flammes des VEN pendant plus de 60 minutes, dépassant de loin les matériaux ordinaires résistants au feu.

Bloque les températures élevées et supprime les fumées épaisses, empêchant les flammes de se propager aux véhicules ou aux bâtiments voisins.

Réutilisable, avec des revêtements en fibres résistantes aux explosions assurant une protection à long terme.

Elle n'est pas conçue pour « éteindre les incendies » mais pour « les contrôler » – gagnant un temps précieux pour les pompiers et minimisant les catastrophes en chaîne !

Pourquoi cette couverture anti-feu est-elle plus résistante que les autres ?


1️⃣ Améliorations des matériaux :

Développée en collaboration avec les meilleures universités chinoises, utilisant des fibres résistantes aux hautes températures de qualité aérospatiale + des revêtements spéciaux antidéflagrants.

Les versions haute performance peuvent résister à 1 500 °C pendant de courtes périodes.

2️⃣ Tests rigoureux :

Validée par des tests de combustion de cellules, de blocs-batteries et de véhicules entiers, couvrant divers scénarios d'incendie.

Conforme aux certifications strictes telles que les normes européennes EN13501-1 et chinoises GB8624-2012.

3️⃣ Scénarios d'application étendus :

Bornes de recharge : Couvrir les véhicules en feu pour protéger les infrastructures environnantes.

Ferrys/garages souterrains : Prévenir les incendies en chaîne.

Entrepôts de véhicules : Éviter les pertes catastrophiques de « l'effet domino ».

Répondre à la controverse : La couverture anti-feu est-elle une « échappatoire » ou une « sauvegarde nécessaire » ?


Certains affirment : « Demander aux propriétaires d'acheter des couvertures anti-feu implique que les VEN sont intrinsèquement dangereux. »
Mais la réalité est la suivante : la sécurité est un effort systématique. Les couvertures anti-feu sont une « protection passive », complétant – et non en conflit avec – les efforts des constructeurs automobiles pour améliorer la sécurité des batteries. De même que les « airbags » ne remplacent pas le châssis en acier d'une voiture, personne ne les qualifie de gadget.

Une considération plus pratique :
La technologie actuelle des batteries ne peut pas empêcher à 100 % l'emballement thermique.
Si une couverture anti-feu peut réduire 90 % des pertes potentielles, ne vaut-elle pas la peine d'être équipée ? La réponse est évidente.

La prévention est la véritable « équité technologique ».
Les couvertures anti-feu automobiles ne sont peut-être pas une panacée, mais jusqu'à ce que la technologie de sécurité des VEN arrive à maturité, elles restent un moyen pragmatique d'atténuer les risques. Au lieu de débattre de « faut-il les utiliser », nous devrions peut-être nous demander : lorsque la catastrophe frappe, sommes-nous vraiment préparés ?

Qu'en pensez-vous ? Partagez vos réflexions dans les commentaires !